Candauliste gourmand et un peu gras

Catégories : Cuckold candaulistes cocu
il y a 8 ans

Une histoire à lire en écoutant Jacques Brel - Dans le port d'Amsterdam sur Youtube ici

J’essaie de ne pas faire de bruit en faisant tourner ma clé dans la serrure, mes escarpins à la main. Inutile de réveiller la maison qui semble paisible, et encore moins les voisins qui ne loupent jamais une occasion de s’intéresser à notre vie privée ! J’entre dans le hall et je m’étonne de voir de la lumière provenant du salon. En posant mes escarpins dans l’entrée, je jette un œil vers la pendule de gare fixée à la voute qui sépare les deux pièces : 03:45 ! Ah oui, quand même ! Je n’ai pas vu le temps passer. J’entre, aussi féline que possible, du moins autant que les vestiges de ma coiffure, de mes bas et mon haut de dentelles noires déchiré sur le côté me le permettent :

-« Tiens… Tu es encore debout mon cœur ? »

-« Ouais. Ils passent une « spéciale Audiard » sur Arte ! Difficile de louper ça ! »

-« Ah… OK… Et quel est le film en ce moment ? »

-« Ils ont passé « Les tontons flingueurs » bien sûr, suivit des « Barbouzes », et à présent ils diffusent « Ne nous fâchons pas » ! »

-« Faudrait que je le regarde un de ces jours. Il parait que c’est drôlement bon ! »

-« Ouais !… »

Je réfléchis un instant, essayant de rassembler mes esprits, avant d’ajouter :

-« Ca semble également être une « spéciale Lautner », non ??? ... »

Il cogite un instant, puis me répond en me regardant enfin :

-« Oui en effet !... Je n’y avais pas pensé mais ces trois films sont en effet de Lautner ! Je suis toujours étonné que la reine des salopes qui partage ma vie soit aussi si cultivée !... »

Il pose la télécommande et attrape son verre qu’il finit d’un trait. La couleur ambre du liquide qui coule dans sa gorge ne laisse aucun doute sur les origines du Tennessee de ce « whisky » réputé dont mon homme est si friand ! Son verre vide, il le repose et reprend :

-« Ta soirée s’est bien passée, Baby ? »

-« Plutôt pas mal pour ma soirée du vendredi ! J’ai parfois connu mieux, mais plus souvent pire !!!... »

-« Combien de mecs ce soir ? »

-« Trois. C’était une soirée plutôt faste et ils étaient en forme ! Les gars avaient garé leur voiture dans le sous-bois près de l’aire de Montech, on était tranquilles… »

-« Trois dans la chatte ? »

Je suis davantage désarçonnée par sa vulgarité que par sa question…

-« Euh… oui ! »

-« Et dans la bouche ? »

-« Bah… Les trois aussi ! »

-« Tu as pris dans le cul aussi ? »

Il faut que je me rattrape, que je tente d’être plus provocatrice et vulgaire que lui pour le prendre à contre-pied ! Il n’attend que ça de moi, je le sais…

-« Oui, mais un seul ! Le plus endurant… Un bon mâle, un bon baiseur et un bon juteur au foutre bien épais !...»

-« Ah !... Les deux autres ne l’étaient pas ? »

-« Si, mais lui a jouit trois fois, les autres deux fois seulement ! Dommage, j’aurais bien aimé qu’ils me remplissent le fion tous les trois… »

-« Tu es vraiment la plus salope des garces que je connaisse ! Si je compte bien tu as pris sept éjacs de mâles ce soir, alors ???... »

-« Tu sais bien que j’encaisse sans broncher ! Tu te rappelles, quand j’avais pris six mâles dans la même soirée, et la plupart plusieurs fois ? »

-« Tu parles si je m’en souviens, tu débordais littéralement et tu étais rentrée avec du foutre jusque dans tes pompes, une vraie serpillière, hi hi hi... »

-« Bon, je suis claquée et fourbue, mon cœur ! J’ai envie d’une bonne douche et d’un dodo dans tes bras. A moins que tu aies une envie plus spéciale en tête ?… »

Niko me regarde, intensément, le regard brillant de lubricité, contemplant cette souillon toujours debout dans l’entrée du salon… Il se relève à moitié du canapé, coupe la télévision et bascule la sono sur une chaine de radio US qui diffuse un blues envoutant, vire le coussin qui lui faisait office d’oreiller, s’allonge sur le dos et me dit :

-« Tu sais ce que j’aime et tu connais mes envies, alors ne me déçoit pas, p’tite salope !... »

Je m’approche de lui, aussi langoureuse et sensuelle que possible, bien consciente que l’image que je lui offre de sa femme n’a plus rien de glamour ce soir… Je remonte ma micro-jupe en cuir sur ma taille, passe une jambe au dessus de son corps et remonte doucement le long de son torse pour offrir mes orifices poisseux et odorants à ses lèvres. Il passe doucement le bout de sa langue sur mon anus, puis sur mon sexe…

-« Tu pues comme la dernière des putes d’un port de commerce, je suis persuadé que le grand Jacques Brel a passé une soirée avec toi avant d’écrire sa fameuse chanson sur Amsterdam !!!... »

Je glisse ma main dans son boxer et saisis sa queue déjà raide et coulante de ce miel que j’adore…

-« La marée haute de ce soir serait-elle au gout de mon beau capitaine ?... »

-«Huummm… Ferme ta grande gueule, poufiasse !... Slurppp… Laisse-moi savourer ce délice !... Hummm… »

-« Oui mon amour !... Accorde-toi autant de plaisir à me déguster que j’en ai eu à me faire remplir… »

-« Huummm… »

-« Si tu savais le plaisir que je prends à satisfaire tes désirs !... »

-« Slurppp… »

-« Régale-toi mon cœur !... Je t’aime tant, mon doux et vicieux mari !!!... »…

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